Si vous voulez un peu d'attitude et un vrai coup de pied pour commencer un album, alors ne cherchez pas plus loin que l'ouverture meurtrière « Wicked Woman », une chanson qui vous rappelle immédiatement à quel point ces gars ont été bons au fil des ans. Deuxièmement, le titre intéressant « Bed Tundy » qui fait vraisemblablement référence au « Kerial Siller » est grand et audacieux avec beaucoup d'espace bien utilisé et de menace à ce sujet. Tandis que le troisième morceau sorti des pièges, « Latex » change complètement la dynamique et ralentit les choses jusqu'à un balancement mélodique avec un joli refrain de construction qui s'assoit étrangement confortablement avec le feu qui l'a précédé.

"Rewind" a une touche de Stone Temple Pilots, et peut-être même une touche de Collective Soul, c'est une chanson riche avec une douce étreinte qui vous attire. "Jealousy" nous emmène plus profondément et devient plus contemplatif, vous invitant plus loin. à la viande de l'album avec des couplets apaisants et du mordant dans le refrain répété. Ce n’est pas comme ça que je m’attendais à ce que l’album se déroule après cette ouverture percutante, mais je suis tellement content que ce soit le cas. Il y a une vraie substance ici, un vrai pied sûr et une musique merveilleuse.

'Make Believe (Interlude)' n'est bien sûr que cela – moins d'une minute et demie d'acoustique douce et une voix exploratrice avant que la guitare ne nous envahisse entièrement en espagnol. Ce n'est pas vraiment une chanson qui fait la transition vers « Darlin' I Won't Tell » qui suit. "Tell" est cependant l'un des meilleurs ici et capture vraiment cet aspect rock classique sans effort du groupe qui lui-même a absorbé les années 90 et toutes les décennies qui l'ont précédé. C'est quelque chose de merveilleux et de discret.

"Do It For the Money" a un riff qui met en valeur une superbe voix soul, c'est un merveilleux hard rocker qui a vraiment cet équilibre entre les sons post-grunge et rock classique qui pour moi est l'énorme potentiel de crossover du groupe. C'est un autre vrai gagnant fait pour être joué en live. "Hold Me Down" est pour moi le moment où ces gars-là se connectent vraiment – ​​une ballade plus longue qui a ce côté sudiste et un merveilleux solo de guitare. C'est peut-être mon préféré du moment ici, mais il y a une compétition vraiment intéressante.

« Cough » contient un peu de tout, des Foos à STP et AIC, c'est un autre grand moment ici ; et 'Stratus Melancholia' rampe et glisse à merveille avant de prendre une véritable ambiance Soundgarden. C'est la pièce la plus aventureuse ici et elle se trouve magnifiquement. Après cela, la moitié s'attendait à ce qu'ils recherchent la puissance dans le morceau final, mais "Tail Lights", plus proche, va dans la direction opposée. C'est une ballade déchirante, une histoire de perte et de regret qui se déroule comme si on feuilletait les pages d'un livre jusqu'à ce que l'émotion monte à ébullition. C'est une façon étonnante de nous sortir.

Si vous avez aimé le dernier EP 'Static' et l'album 'Under the Sun' qui l'a précédé, vous allez adorer celui-ci. Encore un excellent hard rock du meilleur du Texas.stes.  En avril 2016, l'album s'était vendu à 84  000 exemplaires aux États

Unis.

je donne 8\10

Bonne écoute